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 i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin)

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Edwin Tully
Edwin Tully


CONFLANS △ MAISON NOBLE
messages : 30
arrivée en westeros : 24/03/2013

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MessageSujet: i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin)   i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) EmptyDim 24 Mar - 14:27




edwin "ed" tully
il est encore trop tôt pour croire.
identité en bref
nom : tully. oui, eux, ceux qui gouvernent le conflans d'une main de fer. △ prénom : edwin. peut-êre que sa famille a un sérieux problème avec les prénoms commençant par ed, où ça ne choque que lui ? △ surnoms : ed, justement. mais il autorise uniquement son épouse a l'appelé ainsi, dans l'intimité de leur lit, loin des oreilles indiscrètes. △ âge : trente-six ans. certes cela peut paraître jeune pour un suzerain, mais il n'a pas vraiment eu le choix. △ année et lieu de naissance : en l'en de grâce trois cent quatorze, à vivesaigues. on raconte que l'accouchement fut si douloureux que les hurlements de sa mère résonnèrent dans tout le conflans et plus loin encore. △ orientation sexuelle : bisexuelle. il est totalement fidèle à son épouse, qu'il aime réellement. mais d'un autre côté, il ne peut pas s'empêcher de goûter discrètement aux délices qu'offrent les couches des hommes. △ statut civil : marié à une femme magnifique, presque angélique qu'il aime réellement, étrangement. △ occupation : suzerain du conflans. il dirige ses terres d'une soit disant main de fer, en réalité flexible. il est très à l'écoute de son peuple. il ne règle que très rarement les confits entre les paysans par des punitions sévères. commandant de l'armée du conflans. excellent stratège, il sait comment défendre ses terres si elles sont attaquées, et n'hésitera pas à le faire. △ signes particuliers : une cicatrice. qui barre son dos de l'omoplate gauche, à la hanche droite. un cadeau de son père qui rentra complètement arraché un soir, et qui décida de donner sa première leçon à l'épée à un gamin de cinq ans. une tâche de naissance. près de son bas ventre et visible lorsqu'il se dénude. semblable à une truite, emblème de sa famille. △ groupe : conflans. il est né sur ces terres, il y a toujours vécu et il y mourra. △ avatar : daniel feuerriegel. △ crédits : tumblr.


un joli portrait
et un peu d'esprit
Edwin est un pur Tully, ça se voit au premier coup d'oeil, ça se sent à des kilomètres. Le sang de cette noble famille coule dans ses veines, gonfle ses poumons d'une douce allégresse alors qu'il l'affirme fièrement en exhibant sa tignasse auburn aux yeux du monde, ainsi que ses yeux d'un gris métallique tacheté d'un vert herbeux et lumineux. Il possède une pair d'yeux magnifiques, où son épouse aime s'y plonger lorsqu'ils s'adonnent à quelques galipettes. Edwin est vraisemblablement un bel homme, le genre d'homme qu'on ne peut s'empêcher d'admirer lorsqu'il est plongé dans un livre ennuyant, ou qu'il écoute attentivement des paysans se quereller. Outre ses cheveux, ses yeux et sa bouche outrageusement attirante, il possède une fine musculature, obtenue après avoir fait couler sang et sueur par tout les pores de sa peau halée. Qui, par malheur, sens le jasmin et la rose puisqu'elle plonge ces fleurs dans les bains qu'il partage avec son épouse. Pour contrebalancer cet aspect trop... lopette de sa personne, Edwin n'hésite pas à carrer les épaules, dénuder ses bras et montrer à quiconque oserait dire le contraire qu'il est un putain de mec, certes qui sent la rose mais un homme quand même, par tout les dieux. Heureusement qu'il n'est pas petit, car il se serait senti d'autant plus ridicule. Edwin mesure un peu plus d'un mètre quatre-vingt huit, une taille honorable pour un homme de cette stature. Un homme qui ne peut pas rester en place, qui a toujours besoin d'action, de mouvement, de combat, de sang, de sueur. Il pourrait presque faire peur, lorsqu'un liquide carmin tâche son visage et qu'un sourire assoiffé s'étale sur son visage. Edwin est un putain de Tully, un putain de guerrier, un putain d'homme et ça se voit sur sa trogne.
Protecteur. Envers sa famille, surtout sa famille qui compte plus que n'importe quoi à ses yeux. Il se damnerait pour elle, il tuerait pour elle, et sans aucune hésitation. Chez les Tully, la famille passe avant tout et est tout. Ce n'est pas maintenant que ça va changer. Bourru. Parce qu'il reste un homme un peu pataud, maladroit, qui a plus sa place sur les champs de bataille que dans un château. Il ne sait jamais comment réagir lorsqu'on l'interpelle avec ces titres et a tendance à réagir comme un gueux si son épouse n'est pas dans les parages. Courageux. Il se jettera sans hésitation contre un ennemi plus fort que lui, et il vaincra par son courage et sa force de caractère. La vraie valeur d'un guerrier ne se mesure pas par le nombre de ses victoires, mais par le courage dont il a fait preuve pour triompher de ceux qui se dressent devant lui. Distrait. Il aura tendance à oublier de signer d'importante missives pour les seigneurs avoisinants, créant ainsi de nombreux problèmes pour le Conflans. Heureusement que son épouse est là pour le rappeler à l'ordre, qu'est-ce qu'il ne ferait pas sans elle. Fougueux. Edwin ne fait pas les choses à moitié, et quand il les fait c'est avec fougue et passion. Surtout les galipettes nocturnes avec son épouse, qui ne sont pas silencieuses du tout. Les domestiques peuvent en témoigner. Inébranlable. Un cadavre en putréfaction, les tripes ouvertes et le cerveau dégoulinant sur le pavé, il ne bronchera pas. Un homme attaqué par la gangrène, dont la jambe doit immédiatement être amputée, il le forcera à rester immobile. Rien ne peut ébranler ce Tully battit dans un bloc de marbre. Émotif. Avec sa fille, surtout avec sa fille. Celle-ci lui fait frôler les crises cardiaques continuellement en se mettant intentionnellement en danger. Même qu'une fois, il l'a vu entrain d'escalader joyeusement une falaise affreusement haute. Il ne s'en souvient pas, mais on lui a dit qu'il était devenu aussi blanc qu'un linge avant de s'évanouir. Bienveillant. Parce qu'Edwin est un souverain exemplaire. Il sera toujours à l'écoute des besoins de son peuple, et tentera de les satisfaire comme il peut, s'il le peut, avec les moyens à sa disposition. Mais il ne peut pas toujours être éternellement bon... et parfois Edwin n'a pas d'autre choix.
encore un peu plus
△ edwin n'a jamais aimé son père, le suzerain du conflans avant lui. c'était un homme cruel, qui adorait les carnages inconsidérés et les bains de sang. de plus, il tabassait régulièrement ses enfants, les marquant parfois si violemment que les cicatrices sont toujours là. lorsque le moment fut venu pour edwin de prendre la place de son père, il respecta les rites funéraires mais... passa un temps fou avant de réussir à toucher la barque avec une flèche enflammée. il dût si reprendre à sept fois. △ edwin est un excellent combattant. il s'est vidé de son sang, de son eau pour devenir ce qu'il est : le meilleur guerrier du conflans. il s'adapte à la situation qui s'impose et s'il le faut, il attrapera à tisonnier pour péter la gueule à celui qui se dressera devant lui. mais malgré ça, il ne faut pas lui demander de prendre un arc pour abattre un cerf, il a déjà du mal à en tenir un dans le bon sens... △ edwin n'aime pas s'occuper de la paperasse qui s'accumule dangereusement dans son bureau. il ne peut pas supporter d'être enfermer dans une pièce sombre et jonchée de bouquins à longueur de journée. il préfère s'engourdir le poignet à tenir une épée qu'à tenir une plume pour écrire. △ edwin a toujours adoré les tournois, lorsqu'il était gamin. et ça n'a pas changé en grandissant, sauf que maintenant il peut se permettre d'y participer mais la déception se lit toujours sur son visage. en tant que suzerain du conflans, les hommes qui joutent contre lui, même les meilleurs, plient le genoux devant lui et abandonnent, ou font exprès de perdre. △ edwin est allergique aux fraises. si par malheur il en ingère une, il aura une poussée d’acné incontrôlable et la gorge affreusement sèche. sa femme a tendance à oublier cette allergie et de lui déposer régulièrement des fraises sur son bureau, pensant qu'il adore ça plus que tout. ça a le don de le mettre hors de lui, à croire qu'elle le fait exprès pour subir sa délicieuse vengeance au lit, le soir venu. △ edwin est un véritable papa poule avec sa fille. elle est son soleil, son bébé, son coeur, sa chérie, sa raison de vivre, sa... son tout. et cette idiote est une véritable casse-cou qui passe son temps à mettre sa vie en danger. il n'ose même pas imaginer le nombre de fois où elle a failli perdre la vie en escaladant les murailles du château, ou en se faisant courser par un sanglier furieux. edwin a frôlé trop souvent la crise cardiaque devant toutes les idioties de sa fille. il ne manquerait plus qu'elle veuille apprendre le maniement des armes comme ses frères et participer aux tournois à l'épée et à la joute. △ edwin a tendance à s'énerver facilement, pour pas grand chose. surtout lorsqu'on le force à faire quelque chose dont il a horreur, tel que le remplissage de paperasses. heureusement pour lui, personne ou presque n'ose lui tenir tête puisqu'edwin est le suzerain incontesté. △




Dernière édition par Edwin Tully le Lun 25 Mar - 15:39, édité 48 fois
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Edwin Tully
Edwin Tully


CONFLANS △ MAISON NOBLE
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MessageSujet: Re: i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin)   i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) EmptyDim 24 Mar - 14:27




the death is coming for everyone and everything
car personne n'a le pouvoir de changer mon univers.
« Famille, devoir, honneur. Famille, devoir, honneur. Famille, devoir, honneur. » Edwin avait vingt-cinq ans en cette fraîche nuit de printemps, et il répétait inlassablement la devise de la maison Tully, sa maison. D'abord avec lenteur, presque dans un soupir que seules les ouïes perçantes pouvaient décelées, puis de plus en plus fort, alors que sa voix se clarifiait, s'intensifiait. Entre ses doigts gisait une main à la blancheur cadavérique, parsemée de rides, de cicatrices, et calleuse d'avoir trop longtemps tenue une épée. Une main qui, des années plus tôt, le rouait de coups. Une main qui ne lésinait pas sur les bleus qu'elle infligeait, laissant parfois des marques indélébiles, qui ne s’effaceront jamais malgré les années qui s'écoulent. Une main qu'il serrait malgré tout, mais sans aucune amour pour son possesseur. Son paternel. Son géniteur, plutôt. Il n'a jamais considéré ce salopard comme son père. Un bourreau, voilà ce qu'il était. Un bourreau qui le tabassait, le faisait saigner, lui rendait la vie dure, lui laissait un goût amère à la bouche. Un bourreau qui se mourrait. Qui avait la respiration saccadée, haletante, difficile et qui dardait un regard vide sur son fils. Le vieillard se disait que le gamin qu'il frappait avait bien grandi. Qu'il était devenu un bel homme, au bras solide, qui avait déjà une épouse et de beaux enfants, qui deviendront à leur tour des hommes forts. Comme Edwin, leur père. Le vieillard ne parlait pas, il ne disait pas le fond de sa pensée, il ne s'excusait pas de tout le mal que ses mains avaient causés à son enfant. Il ne faisait que fixer celui-ci, plongeant son regard vide au bord de la mort, dans celui glacial comme le Mur de son fils. Qui ne ressentait rien, mais rien de voir son père mourir à petit feu sous ses yeux. Pire, il espérait le voir rendre son dernier souffle. « Famille, devoir, honneur. Dans cet ordre là. Pourtant, le devoir et l'honneur passait toujours avant la famille. » Les yeux du vieil hommes se fermèrent. Sa respiration se faisait de plus en plus douloureuse, intenable, difficile. Il réussit, après un effort surhumain à ouvrir la bouche et articuler ces quelques mots. « Je ne regrette pas ce que j'ai fais. Ça t'a endurci. Ça t'a préparé à me succéder, fils. » Sur ses dernières paroles, messire Edgar Tully s'éteignit.

Edgar Tully, suzerain du Conflans, demeurant à Vivesaigues vient de nous quitter cette nuit, quelques heures avant l'aube. Son âge avancé ne lui permettait pas de combattre la maladie qui ravageait son corps affaibli. Néanmoins notre suzerain s'est éteind sans souffrance. Il peut dorénavant rejoindre les sept et jouir d'une béatitude éternelle dans les cieux. (...) La suzeraineté du Conflans incombe, à dater de ce jour à son fils aîné, messire Edwin Tully. Puissiez vous jouir d'une longue vie comme votre père, prononça solennellement le mestre.

Le corps d'Edgar fut déposé dans un silence religieux dans une barque de cèdre immaculée, peinte aux couleurs de la maison de Tully. Une gigantesque voile, tissée pour l’occasion par les meilleurs tisserands du Conflans flottait au vent. Une truite semblait nager dans des flots de larmes et de sang, alors que sept hommes et femmes voilés poussaient l'embarcation dans la Culbute. Chacune des sept personnes représentait l'un des sept dieux : le Père, la Mère, l'Aïeule, le Guerrier, le Ferrant, la Jouvencelle et l'Etranger. Comme le devait la tradition des Tully. « Famille, devoir, honneur. » Murmurèrent chaque Tully présent d'une même voix. Edwin, son épouse, ses frères, ses soeurs, leurs enfants alors que la barque glissait sur les flots tempétueux du fleuve qui s'agitait sous la tempête qui se préparait dans les cieux. Edwin s'avança, le pas tremblant d'hésitation alors qu'on lui tendait un arc. Il s'en saisit, sûr de lui, la mine sévère, le regard froid et impénétrable, prêt à accomplir son devoir. Prêt à faire comme son père l'avait fait avant lui pour son propre père. « Mon amour, dans l'autre sens. » Le visage du suzerain se teinta de rouge, alors qu'il se rendit compte qu'il ne tenait pas son arc dans le bon sens. Son épouse retint un rire moqueur qu'elle lui réservait pour le soir-même, dans l'intimité de leur chambre. Edwin prit une grande inspiration, guère à l'aise lorsqu'il n'avait pas une épée à la lame effilée et tranchante dans la main. Il se redressa, leva l'arc et le banda avant de plonger la pointe acérée de la flèche dans les flammes. Avant de décocher le trait de bois qui... plongea dans les eaux. Edwin grinça des dents. L'assemblée restait impénétrable, imperturbable, silencieuse. Ils riaient tous, au fond d'eux au lieu de pleurer la mort de leur ancien suzerain. Ils riaient de la maladresse à l'arc du fils du défunt. Qui s'enfonçait à chaque nouvelle flèche tirée qui ratait sa cible. Une, deux, trois, quatre, cinq, six... Les flèches s’enchaînaient honteusement. Les rires ne parvenaient plus à s'étouffer. La barque s'éloignait, encore, encore et toujours plus loin de la rive. « Mon amour, la dernière sera la bonne. » Déclara son épouse qui se voulait encourageante, alors qu'un rire cristallin s'échappait de ses lèvres. Edwin grimaça, et attrapa l'ultime flèche. La septième. La septième serait la bonne. Les dieux l'encourageaient. Les dieux l'aideraient dans sa tâche. Le suzerain bandit l'arc, plongea la flèche dans les flammes dans un même mouvement et... tira. Le trait de bois décrivit une courbe parfaite et sifflante dans les airs avant de s'enfoncer durement dans le bois de la barque et de l'enflammer. Les flammes carnassières dévorèrent le voile, le corps, l'embarcation avant que les eaux n'engloutissent ce qu'il en reste. Edgar Tully sombra dans les enfers, car il en était ainsi. Car Edwin décida qu'il en serrait ainsi.


family, duty, honor
Famille, devoir, honneur. Dans cet ordre-ci, et uniquement dans celui-là. On l'a assez répété à Edwin et à ses frères lorsqu'il était gamin. Famille, devoir, honneur. Sa famille est son tout. Il ne peut pas s'imaginer perdre l'un d'eux un jour, que se soit son épouse, ses frères, ses cousins, ses propres enfants... surtout ses enfants. Certes, Edwin peut se montrer intransigeant et particulièrement dur avec ses garçons sans pour autant verser dans la violence et les coups comme son père avant lui. Edwin considère beaucoup trop sa famille pour cela, même s'il doit l'avouer, quelques gifles peuvent se perdre lorsque la situation l'exige. Il ne supporte pas l'irrespect, et tient à ce que ses garçons soient irréprochables et ne crachent jamais sur la chance qu'ils ont d'appartenir à la noble famille Tully. Une chance qui n'est pas accordée à tout le monde, que les paysans du Conflans envient secrètement. Famille, devoir, honneur. Ils sont soudés à l'instar de deux plaques de fer que l'on ne peut séparer. Ils forment un tout, un un, un poing serré uni que rien ne peut séparer. Mais même une famille comme les Tully peut avoir des conflits entre ses membres pour de stupides raisons à un moment ou un autre.

Edgar Tully. Son père, ou plutôt son géniteur comme il aimait le préciser. Un homme affreusement cruel, imbu de sa personne qui aimait martyriser les petites gens et s'amuser de leurs hurlements. Un homme qui se complaisait dans la violence, les bains de sang et les meurtres. Un homme qui s'abandonnait souvent dans la boisson, et qui le soir venu, rentrait dans la chambre de ses gamins pour les tabasser sans raison. Edwin se souvient parfaitement, à l'aube de ses cinq ans, de sa première leçon à l'épée. Il en garde un souvenir indélébile dans le dos, et serait mort si le mestre de sa famille n'avait pas été là. Lorsqu'enfin, Edwin vit son père mourir par la maladie, le soulagement fut si intense qu'il pleura, pas de tristesse non, de joie d'être débarrasser de ce salopard. Les dieux soient loués.

Cassandre Nerbosc. Son épouse depuis... depuis presque, voir plus de vingt ans. Edwin était promis à une autre femme, à l'époque mais lorsqu'il vit Cassandre... le coup de foudre existe bel et bien. Cette femme, il l'aime depuis qu'il l'a vu, il l'aime d'un amour réel même s'il ne peut s'empêcher de la tromper en compagnie de belâtres aux musculatures avantageuses. Néanmoins, il n'a touché aucune autre femme, restant fidèle de ce côté-ci pour elle. Et Cassandre le sait, qu'elle est tout pour lui, et en profite. Contrairement aux autres épouses, elle n'est pas si soumise et silencieuse que ça, elle se permet de répondre franchement à son mari, et de lui tenir tête quand la situation l'exige. Edwin aime quand elle lui tient tête, leur relation n'en est que plus palpitante, et ne sombre jamais dans la monotonie.

Ethel Tully. Sa fille. Son sang, sa chair, son coeur, sa lune, son soleil, sa pupille, son bébé, son joyaux, sa chérie. Sa fille à lui et à lui seul, son unique fille. Il l'aime plus que tout, d'un amour paternel démesuré. Pour elle, il soulèverait des montagnes et séparerait des mers en deux. Pour elle, il se damnerait. Mais... cette petite peste s'en amuse et lui mène la vie dure, avec ses grimpettes improbables et ses balades dans la forêt infestée de sangliers, la nuit. Edwin a frôlé à de nombreuses reprises la crise cardiaque, son coeur ne supportant pas de voir sa fille se mettre en danger intentionnellement. Il n'ose même pas imaginer le jour où elle lui ramènera un homme à la maison. Pour elle, enfin pour son prétendant, il faudrait éviter s'il ne veut pas finir la tête sur une pique, ornant la salle du trône.


behind the mask
pseudo : shizu. △ prénom : chloé. △ âge : bientôt quinze ans. △ comment avez-vous découvert le forum ? uesh, la question ne se pose même pas. △ votre avis ? m-a-g-n-i-f-i-q-u-e. △ des questions ? suggestions ? aucune... pour le moment. △ fréquence de connexion : tout les jours. △ poste vacant, scénario ou inventé ? inventé. △ le mot de la fin : je vous aime, mes bichons.




Dernière édition par Edwin Tully le Mar 26 Mar - 12:28, édité 31 fois
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Aryanna
Aryanna


NORD △ ROTURIER
messages : 39
arrivée en westeros : 15/03/2013

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MessageSujet: Re: i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin)   i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) EmptyDim 24 Mar - 15:13

Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche
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Edwin Tully
Edwin Tully


CONFLANS △ MAISON NOBLE
messages : 30
arrivée en westeros : 24/03/2013

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MessageSujet: Re: i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin)   i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) EmptyLun 25 Mar - 21:48

voilà, fiche finie, j'ai galéré à la faire, j'en suis assez fière. ohlàlà, Ed c'est juste trop une merde à l'arc, c'est une honte, une honte. i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) 870842424 (faudra juste rajouter le prénom de ton tc Esther, parce que les ... ça fait un peu tâche dans le bazar) SINON PAPA POULE EST DANS LA PLACE.
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Sahar Sand
Sahar Sand


DORNE △ MAISON NOBLE
messages : 5
arrivée en westeros : 24/03/2013

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MessageSujet: Re: i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin)   i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) EmptyMar 26 Mar - 12:14

MON PAPA i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) 870842424 ( je me comprends i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) 2516637371 )

Fiche validée i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) 3800015571
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MessageSujet: Re: i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin)   i understand now why a man would risk all for a such thing. (edwin) Empty

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