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 WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.

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Galeswinthe Martell
Galeswinthe Martell


NORD △ MAISON NOBLE
messages : 22
arrivée en westeros : 22/03/2013

WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. Empty
MessageSujet: WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.   WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. EmptySam 23 Mar - 1:56




galeswinthe martell
the thrill of the kill. you feel, as a sin. alone with the wolves. and now it seems, I thought I was part of you.
identité en bref
nom : martell. son mariage avec un Bolton ne lui a pas fait adopter ce nom, pas plus qu'elle n'est d'accord avec les méthodes archaïques et violentes de cette famille. c'est une forme de rébellion comme une autre. △ prénom : galeswinthe. c'est ainsi qu'on l'appelle en général, les nobles étant friands de ces prénoms à rallonge désuets. et oui, elle maudit encore ses parents pour ce choix inconsidéré. franchement. galeswinthe. △ surnoms : winthe. c'est ainsi qu'elle se présente plus volontiers à ceux qui ignorent son rang. elle aime la simplicité du mot, la façon dont il s'échappe facilement. win-the. selon l'accent, les personnes le prononcent vince, ou wouince. l'un comme l'autre ne la dérangent pas, du moment que ce n'est pas par moquerie. il lui arrive aussi de choisir le pseudonyme de Sahar (Lune) lorsqu'elle veut rester anonyme. △ âge : vingt-cinq ans. Bolton père considère qu'il serait grand temps qu'elle tombe enfin enceinte, pour que l'âge ne souille pas les fabuleuses capacités de l'héritier qu'elle donnera au Nord. ce n'est évidemment pas l'avis de Winthe sur le sujet, mais tout ce qu'elle dit, c'est qu'elle essaie pourtant de très nombreuses fois par nuit avec son fils. juste pour voir ses sourcils se froncer sur son regard d'acier. elle a beau ne pas se sentir prête à devenir grosse et impotente, il lui arrive parfois d'envier les mères. toute la contradiction féminine. △ année et lieu de naissance : an 325, été. en Dorne, c'est toujours l'été, avec des variations de températures relativement insignifiantes. ce concept de saison a pris tout son sens lors des premiers voyages de Winthe dans le Nord. △ orientation sexuelle : hétérosexuelle. les femmes sont indéniablement attirantes, mais elles n'exercent pas le même désir chez Winthe qu'un homme. encore qu'elle soit étrangement fidèle à son mari volage, malgré quelques flirts innocents. △ statut civil : mariée. depuis l'âge de dix-sept ans, soit depuis huit ans, elle partage la couche de theodan bolton. contrairement à ce que l'on peut croire, elle a entièrement choisi cet état, l'assume et porte même un amour sincère à son époux. elle le supporte, tolère ses écarts de conduite, est honnête envers lui et se plie allègrement à son devoir conjugal. parallèlement, elle tente aussi de le faire changer un peu d'avis sur sa vision du monde. pour elle, son père a détruit tout ce qu'il y avait de meilleur en lui, tout ce qui aurait pu faire de lui un puissant et généreux seigneur du Nord. au lieu de ça, il n'est plus que l'ombre de lui-même, un étalon brisé qui assoit sa supériorité par la violence et le sexe. △ occupation : être une épouse exemplaire. c'est ce à quoi elle est destinée depuis son mariage avec un Bolton, elle ne peut pas diriger ou être présente aux conseils. elle n'est qu'une femme à leurs yeux. à Dorne, elle aurait pu être la princesse héritière Martell. ce n'est aujourd'hui qu'un fugace souvenir. néanmoins, cela ne l'empêche pas de prendre part à la politique des siens par le biais de missives privées. elle conseille sa fratrie, prend des initiatives, manœuvre dans l'ombre pour le bien-être de Dorne. à ses yeux, l'absence de titre ne signifie pas qu'elle n'est plus obligée de s'occuper du Domaine, sinon cela signifierait que toutes ces années passées à apprendre, à comprendre, à assimiler n'ont servies à rien. outre ce rôle effacé et mineur, Winthe aime sortir le soir pour en apprendre plus sur le Mur, la Garde de Nuit et les Autres. sa curiosité la pousse dans de dangereux endroits. △ signes particuliers : cicatrice à l'omoplate gauche. un jour qu'elle s'entraînait avec un peu trop de verve, l'épée de son maître d'armes mordit profondément sa chair. son père manqua de le faire exécuter pour cette faute impardonnable, mais Winthe intercéda en sa faveur en prétextant qu'elle s'était montrée trop audacieuse et qu'il n'y était pour rien : la vérité. une petite marque blanche sur la cuisse droite. là encore, c'est dû à un combat à l'épée qui a mal tourné. cette estafilade insignifiante remonte désormais à quatre ans, et elle était alors plus handicapante. elle se souvient encore de la tête de Theodan lorsqu'elle est rentrée d'une de ses escapades de nuit, la jambe en sang. néanmoins, il a pris soin d'elle et elle a guérit. change-peau. depuis qu'elle est en âge de comprendre, Winthe fait des songes où son esprit se mêlent à celui d'un canidé. longtemps, elle a eu du mal à les accepter, à les comprendre, mais grâce au soutien de sa sœur de cœur, elle est parvenue à mettre un mot sur cette bizarrerie : change-peau. suite à cela, elle a tenté tour à tour d'ignorer, de réfuter, de haïr cette part d'elle-même avant de se fondre en elle. désormais, c'est ce qu'elle est, et même si elle le cache aux oreilles des étrangers, elle en est fière. △ groupe : Nord. au plus près du Mur, au plus loin des siens. △ avatar : Gemma Arterton. and i know you want me. △ crédits : tumblr, She Wolf (Falling to Pieces) de David Guetta ft. Sia.


un joli portrait
et un peu d'esprit
Si Winthe n’a jamais eu la peau aussi sombre que ses frères et sœurs – un détail dans la génétique – elle n’a, du reste, rien à leur envier. Elle porte les cheveux longs depuis l’âge de quinze ans, après que sa mère et ses deux tantes lui aient fortement conseillé de le faire. Parce qu’avoir la coiffure d’un garçon ne sied pas à la princesse héritière de la maison Martell. Son opulente chevelure brune prenait autrefois de ravissants reflets roux à force d’être exposée au dur soleil de Dorne ; aujourd’hui, après huit années passées à Winterfell, c’est tout juste si quelques tons ocres viennent encore s’y perdre. Elle n’a jamais su que faire de ses longs cheveux, elle laissait donc à ses dames de compagnie le soin de les coiffer comme il se devait – Winthe prenait un malin plaisir à paraître devant sa mère décoiffée, pour la simple satisfaction de voir son beau visage se tordre de fureur. Passée l’enfance, la princesse s’est assagie, délaissant les jeux pour plus de fermeté et d’apprentissage. Cela s’est fortement ressenti dans son apparence. De la gamine sans cesse débraillée, elle est peu à peu passée à l’adolescente bien habillée, soigneusement coiffée et bien élevée. Ses formes de femme ne lui permettaient plus de se déplacer dans tout Palais Vieux uniquement vêtue de sa vieille tenue d’équitation – laquelle commençait de toute façon à être bien trop serrée. Après être tombée sur des hommes au regard baladeur, Winthe a compris qu’il ne servait à rien de les blâmer pour leur lubricité et elle a tout fait pour dissimuler sa chair à ces vautours.

Après les premiers mois, où elle a failli plusieurs fois mourir de chaud à cause de ses tenues trop fermées, la jeune femme s’est rationalisée. Puis, elle a pris goût aux tenues plus échancrées sans être vulgaires, des vêtements qui seyaient davantage à son tout nouveau corps et à ses habitudes aventureuses. Qui plus est, il faut bien l’avouer, Winthe a toujours aimé utiliser ses charmes sur la gente masculine. Parfois par simple amusement, d’autres fois pour un but précis. Elle ne s’est jamais sentie en danger parce qu’elle était désirée : puisqu’elle sait parfaitement se défendre, elle ne craint pas la sauvagerie des autres et a même tendance à les remettre à leur place. A force de combattre le feu par le feu – et de chercher les problèmes, en fait – la princesse a récolté un certain nombre de petites cicatrices, de minuscules brûlures, de griffures, de bleus tenaces. Mais les seuls souvenirs qui sont dignes d’être racontés sont ceux où elle s’en sort indemne, bien évidemment. Theodan l’a pratiquement harcelée pour qu’elle lui conte l’histoire de chaque estafilade, qu’elle soit vieille de plusieurs années ou non. En échange, elle a exigé la même confession, ce qui les a étrangement encore plus rapprochés. Depuis qu’ils se sont mutuellement donné leur confiance, Theo accepte de couvrir la plupart des blessures que sa femme récolte lorsqu’elle sort la nuit. Une lèvre éclatée, une pommette gonflée, quelques bleus sur les bras. Il sait qu’elle n’arrêtera pas d’écumer les ruelles malfamées, juste pour le plaisir de respirer l’air glacé du Nord, alors du moment qu’elle ne lui ramène pas un bâtard… Après tout, c’est quand même sa femme. Et, plus d’une fois, c’est même lui qui a laissé des traces sur sa chair après leurs ébats. Il en a toujours été très satisfait, et elle… ça la fait sourire, ce genre de comportement. Parce qu’elle sait qu’il ne ferait jamais rien pour la blesser, du moins intentionnellement. Ils sont liés.

Malgré les sévices qu’ont dû subir sa peau – ainsi que ses ongles, sans cesse cassés – durant une petite vingtaine d’années, Winthe est dans une forme olympique. Elle mange sainement, boit suffisamment d’alcool pour détruire toutes les possibles maladies qu’elle peut contracter rien qu’en mettant le pied dans une taverne, elle est aussi aisément capable de piquer un sprint sans être essoufflée ou ressentir un point de côté. Ses sorties nocturnes l’aident à tenir le rythme d’une double-vie, tout comme ses années d’apprentissage auprès de sa Septa, de sa mère et de ses tantes lui permettent d’être aussi angélique aux yeux des Bolton. Capable de passer d’un sourire enjôleur à un regard meurtrier, Winthe est le genre de femme que l’on ne désire pas contrarier. Sa violence, autrefois contenue à un certain niveau, n’a fait que se décupler au fil des années passées à Winterfell. Entourée de bourreau, elle en est devenue un à son tour, à sa façon. Toutefois elle n’a jamais atteint cette joie malsaine que les Bolton semblent éprouver en dispensant l’horreur et la mort autour d’eux. Fort heureusement pour elle, elle a encore tous ses doigts, et la peau de son auriculaire.

Galeswinthe est le nom qu’elle porte officiellement, en tant que noble et femme mariée à l’héritier. Sous ce prénom, elle n’est que douceur et compréhension. Elle s’habille comme il convient, se fait coiffer par ses dames de compagnie, perd d’innombrables heures à faire des points en couture ou à jouer de la harpe – bon sang, ce qu’elle peut trouver cela ennuyant et désespérant. Passer ainsi tout son temps libre à flagorner à tendance à l’exaspérer. Elle aimerait pouvoir s’éclipser, ne passer qu’une ou deux heures parmi les Bolton, mais elle sait qu’ils se poseraient des questions. Et Theodan ne pourrait pas toujours la couvrir. Même s’il le voulait. Profil bas, donc.

En tant que Winthe, néanmoins, elle est plus libre que jamais. Ses longs cheveux bruns détachés, ou nattés à la va-vite, elle jette son dévolu sur des tenues fatiguées, mais toujours d’excellente facture. Des chemisiers, des corsets, des pantalons d’homme, des bottes. De quoi faire glisser les regards sur ses cuisses et ses fesses, mais elle n’en n’a cure. De même qu’elle sait comment réagir lorsque l’on s’adresse à elle en ayant les yeux rivés sur sa poitrine. Un ou deux coups bien placés suffisent généralement à remettre les idées en place. Et sinon, elle peut toujours menacer de les émasculer. Ça aussi, ça marche bien.
Enfant, Galeswinthe était une gamine têtue et bruyante. Elle avait toujours un avis sur tout, se roulait dans la boue avec les chiens, partait vivre la grande aventure sur son poney et se pensait reine du monde entier. Elle avait beaucoup d’imagination, elle se voyait tour à tour magicienne, guerrière, voleuse, mais jamais guérisseuse ou devineresse. Les métiers de femme n’étaient pas pour elle, elle voulait se battre comme un garçon et obtenir le respect des autres par ses faits d’armes, pas pour la couronne qui ceignait sa petite tête. Elle parvint donc à poursuivre son fantasme de longues années durant, principalement épaulée par son père – qui voyait en elle une fière descendante de la grande reine Nyméria. Mais derrière cette façade d’enfant turbulente, elle cachait un esprit relativement mature pour son jeune âge. Ainsi s’était-elle faite à l’idée qu’elle ne pourrait pas continuer à vivre ainsi indéfiniment ; et secrètement, il lui tardait quand même de devenir grande, pour que sa voix ait plus de poids auprès de la cour et de sa famille. Car si son père partageait la même douce folie, sa mère était une femme droite et exigeante, qui l’obligeait à suivre ses leçons de musique, à écouter sa Septa et à devenir une belle jeune fille. Sa mère l’aimait, c’était indéniable. Néanmoins, elle était avant tout la Princesse de Dorne et elle portait ce titre avec beaucoup de fierté – elle pouvait même se montrer plus « royale » que son époux, alors qu’elle n’était pas de sang Martell contrairement à lui.

Mais derrière cette façade d’enfant turbulente, elle cachait un esprit relativement mature pour son jeune âge. Ainsi s’était-elle faite à l’idée qu’elle ne pourrait pas continuer à vivre ainsi indéfiniment ; et secrètement, il lui tardait quand même de devenir grande, pour que sa voix ait plus de poids auprès de la cour et de sa famille. Car si son père partageait la même douce folie, sa mère était une femme droite et exigeante, qui l’obligeait à suivre ses leçons de musique, à écouter sa Septa et à devenir une belle jeune fille. Sa mère l’aimait, c’était indéniable. Néanmoins, elle était avant tout la Princesse de Dorne et elle portait ce titre avec beaucoup de fierté – elle pouvait même se montrer plus « royale » que son époux, alors qu’elle n’était pas de sang Martell contrairement à lui.

Galeswinthe appris donc à agir comme il le fallait. Lorsqu’elle entra dans sa douzième année, elle avait complètement délaissé les jeux de l’enfance et s’illustrait désormais comme étant une digne princesse héritière. Elle suivit avec assiduité ses cours de bienséance, prenant conseil auprès de sa mère et de ses tantes, suivant les préceptes de sa Septa. En apparence, elle était la jeune fille idéale. Cependant, Winthe a toujours été assez maligne pour jouer la comédie afin d’atteindre un but connu d’elle seule. A cet âge-là, elle rêvait encore d’apprendre l’art de l’escrime, de savoir tirer à l’arbalète et de monter de fougueux étalons sauvages – n’y voir aucune autre allusion. Elle se considérait comme indomptable, elle aussi. Et même si aujourd’hui elle est mariée, même si elle doit porter un masque presque en permanence, elle sent encore le vent de la liberté souffler sur son visage. Son père lui disait avec amusement qu’elle était très dangereuse : suffisamment belle pour qu'on la pense innocente, suffisamment rusée pour que l’on se trompe à son sujet. Si elle ne s’est pas immédiatement roulée dans la luxure comme un certain nombre de Dorniennes, Winthe a rapidement appris à se servir de ses seins et de ses fesses comme d’un argument. Par contre, elle a toujours gardé sa virginité, même si les occasions se sont maintes fois présentées et qu’elle ait suffisamment discuté avec ses dames pour en savoir long sur l’acte et les différentes façons de satisfaire un homme. Sa vertu intacte fut l’un des points forts du mariage avec Theodan Bolton – une princesse héritière pure, ça porte quelques avantages. Galeswinthe a donc une sexualité assez libérée, mais elle n’en n’a pas pour autant été une putain de noble.

Sa force de caractère n’est pas seulement due à son éducation, Winthe a toujours fait preuve d’une étrange dureté lorsqu’elle prenait des décisions royales. Elle n’acceptait aucun refus, privilégiait toujours le bien-être de son peuple et n’agissait que pour rendre la vie des Dorniens meilleure. C’est elle qui a peaufiné son mariage avec Theodan ; si son père fut celui qui lui souffla l’idée, elle seule fut responsable de la suite. Elle accepta cette union uniquement parce qu’elle apporterait la stabilité nécessaire entre les deux Maisons – et aussi qu’ainsi, elle pourrait se rapprocher du Mur, mais c’est un sujet très délicat à aborder. Depuis l’enfance, Galeswinthe est obnubilée par la Garde de Nuit, elle n’a jamais totalement cessé d’y penser. Encore une preuve qu’elle est diablement obstinée. Plus d’une fois, elle a souhaité être née homme pour pouvoir prendre le Noir. Toutefois, même elle, elle sait que l’on ne peut pas changer ce que l’on est. Ou qui l’on est. L’inflexible caractère de Winthe s’est adapté à sa vie auprès des Bolton. Elle en a conçu un goût certain pour la violence – pas n’importe laquelle, pas celle liée aux tortures, disons simplement qu’elle passe ses frustrations de la journée sur les médiocres bandits qu’elle croise dans les ruelles de Winterfell. Et sa rancune est aussi éternelle que la neige du Nord. Elle n’oublie jamais. Ne pardonne jamais. Elle est aussi implacable que l’Hiver.

La famille est … tout, pour elle. Elle est plus que loyale à la maison Martell, à ses sœurs et à son frère. Elle sert encore Dorne, malgré qu’elle soit exilée à Winterfell. On ne compte plus les missives personnelles qu’elle fait parvenir à sa fratrie pour les aider à diriger ou pour les conseiller, simplement. Depuis son mariage avec Theodan, elle lui est aussi loyale. Beaucoup remettent en question cette loyauté sans failles, ce prétendu « amour sincère » qu’elle éprouve pour lui, mais toutes les rumeurs ne peuvent effacer les huit années qu’elle a passé auprès de lui, à le soutenir dans l’ombre, à être toujours là pour lui. Sahar – qui est techniquement sa demi-sœur, mais qu’elle appelle « ma sœur » – a énormément de mal à saisir le lien qui les unit. Elle ne conçoit pas que Winthe se soit volontairement liée à un homme aussi violent, volage et sanguinaire. Galeswinthe est la seule à voir ce qu’il reste de bon à lui, elle s’efforce par ailleurs de le pousser à prendre le dessus sur son père, qu’elle exècre par-dessus tout.
encore un peu plus
elle manie l'arbalète avec une aisance mortelle, grâce aux longs entraînements qu'elle a suivi pendant son adolescence. quant à l'épée, disons qu'elle sait se défendre, mais qu'elle préfèrera toujours être à distance. + on ne compte plus le nombre de fois où elle est revenue auprès de son époux le visage tuméfié, en laissant un chemin de sang derrière elle. theodan l'a toujours soignée, quelles que soient ses blessures, tout comme elle l'a toujours fait pour lui. ils prennent soin l'un de l'autre, à leur façon. + elle n'a jamais trompé theo, même si elle a déjà flirté avec d'autres hommes. et qu'elle a sûrement dû en embrasser quelques-uns. mais c'était souvent plus par jeu, ou par commodité qu'autre chose. elle lui est réellement fidèle. contrairement à lui. + de Dorne, elle n'a ramené que quelques bijoux, quelques tenues ainsi que son molosse. loki était le chiot le plus frêle de sa portée, le maître-chien l'aurait noyé si elle ne s'était pas interposée. pendant les premiers mois, elle a tout fait pour le maintenir en vie, jusqu'à ce qu'il prenne subitement du muscle et du mordant. à l'âge adulte, il était plus imposant que les autres molosses, et tout aussi doué pour la chasse. mais elle l'a gardé, et il l'a protégée depuis. c'est ses rêves qu'elle a partagé ces dernières années. + elle vit très bien le fait d'être zoman. ce n'était pas le cas lorsqu'elle était plus jeune, mais elle a accepté cette part d'elle-même grâce au soutien permanent de Sahar. son troisième œil s'est ouvert il y a environ six ans ; elle tente tant bien que mal de faire en sorte que theodan cesse de refouler son don. ce n'est pas gagné. + à Dorne, elle avait aussi un étalon des sables à la robe rougeâtre qu'elle avait nommé dagan. elle l'ai laissé là-bas, aux bons soins de sa famille. il n'aurait pas aimé les températures glaciales du Nord. quelques mois après son arrivée, theo a tenu à lui offrir une monture. il a choisi une robuste jument de race merens, noire zaine, qu'elle a prénommée dune.+ elle est toujours autant fascinée par la Garde de Nuit, elle n'hésiterait donc pas à venir en aide à l'un d'eux même si elle sait qu'elle ne sera jamais acceptée. d'ailleurs, theodan la tuerait si elle osait prendre le Noir, si c'était possible. tout comme il a du mal à supporter qu'elle ne voue pas une haine viscérale aux Starks. là encore, elle serait capable de leur venir en aide. discrètement. et à condition qu'ils ne soient pas là pour blesser theo. + par contre, elle est loin de savoir qu'une des maîtresses de theodan est une Stark. liraz est, à ses yeux, une jeune femme extraordinaire et très agréable, c'est à peu près la seule amante avec qui elle s'entend aussi bien. quant aux autres, elle les tolère. après tout, ce n'est pas parce qu'elles couchent avec son mari qu'elle doit les apprécier. parce que c'est quand même son Bolton. + elle refuse d'avoir un enfant pour l'instant, elle est bien trop passionnée par ses escapades nocturnes pour ça. elle prend donc sa petite tisane tous les soirs, avec l'accord de theodan. mais Bolton père commence à poser un peu trop de questions, et elle va sans doute devoir se plier à ses exigences sous peu. la vérité, c'est qu'elle craint de perdre le bébé à cause de ses sorties. elle a déjà vu des femmes enceintes accoucher d'enfants morts nés, c'est une chose qui lui glace le sang. + elle natte toujours ses cheveux, parce qu'elle les trouve trop longs et qu'ils ont tendance à la gêner un peu lorsqu'elle se bat. elle aimerait bien les couper, mais à chaque fois qu'elle le mentionne, theodan lui fait les gros yeux. et les paroles de sa mère lui reviennent à l'esprit. avoir la coiffure d’un garçon ne sied pas à la princesse héritière de la maison Martell. elle n'est peut-être plus la princesse héritière, mais les habitudes sont tenaces. + avec elle, c'est un peu : il ne faut pas réveiller l'eau qui dort. elle passe souvent pour une femme douce, effacée et docile. tout du moins lorsqu'elle est en public. une fois qu'elle sort, par contre, elle est une toute autre personne. et non, elle n'est pas schizophrène. juste bipolaire. (c'est une blague.) + elle torture ses cheveux lorsqu'elle n'est pas calme, elle malmène ses vêtements lorsqu'elle sort le soir, elle a dû verser plus de sang que de larmes, elle connaît le goût du sang, elle balance les hanches et met theodan à genoux. et le pire, dans tout ça, c'est qu'elle adore ça.




Dernière édition par Galeswinthe Martell le Lun 29 Avr - 17:32, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.   WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. EmptySam 23 Mar - 2:00




a few words in a page
light will guide you home and i'll be there to fix you
Lancélion, Dorne. An 342.
Les doigts de Sahar glissaient dans sa chevelure, tressant les mèches en de complexes croisements. Elle avait toujours aimé ces moments de calme, où elles n’étaient plus séparées par leur sang, où elles n’étaient que deux gamines un peu rêveuses avec des idées plein la tête. Où elles n’étaient que des sœurs. Elle n’avait pas besoin de le dire à voix haute pour savoir qu’elle pensait comme elle et qu’à cet instant précis, elle était en train de sourire doucement. Galeswinthe soupira doucement, laissant sa moitié terminer son œuvre avant d’oser bouger le moindre muscle. Sahar n’était peut-être pas brutale, mais elle savait imposer sa volonté lorsqu’il le fallait. Et lorsqu’il était question de coiffure, même pour un évènement mineur, elle n’acceptait que la perfection. « Cesse donc de remuer, tu vas me faire tout recommencer. » « Ce n’est qu’un stupide banquet d’anniversaire, ce n’est pas comme si j’allais être couronnée reine des sept couronnes. » Sa plainte ne lui accorda aucun traitement de faveur, son bourreau continuant son œuvre avec le calme d’une Septa. Elle tressait, tirait, nouait, enroulait les mèches auburn en un amalgame sophistiqué qui aurait fait pâlir d’envie les autres femmes. Malgré tout, aux yeux de ses dames de compagnie et de sa mère, les coiffures de Sahar manquaient de rigueur et d’ampleur, elles étaient trop simplistes, ou parfois trop fantaisistes. Galeswinthe était la seule à apprécier les petites attentions de sa demi-sœur. Elle savourait les moments qu’elles partageaient, sachant pertinemment qu’ils ne pouvaient pas durer éternellement. Elle avait toujours fait preuve d’un pragmatisme certain lorsqu’il s’agissait du futur ; elle, sur le trône, probablement marié au meilleur parti qu’elle aurait pu trouver, et Sahar au loin. Dans les meilleurs des cas, elle restait à ses côtés, pour la conseiller, mais l’héritière se doutait bien qu’elle ne pourrait pas conserver sa famille aussi unie qu’aujourd’hui. Ce n’était pas ainsi que les choses devaient évoluer. Sahar trouverait un bon mari, un homme qui l’aimerait autant qu’elle l’aimerait. En quelque sorte, le fait qu’elle soit née du mauvais côté de la couche lui servirait à envisager un avenir plus florissant. Plus libre.

Combien de fois avaient-elles épilogué sur la liberté, sur le sens que pourrait prendre leur vie si elles n’étaient pas nées dans la famille Martell ? Enfants, elles s’étaient volontiers imaginées paysannes, roturières, ou issues de la petite noblesse. Elles montaient à cheval à la garçonne, elles jouaient avec les autres enfants sans distinction, elles n’avaient pas à suivre de stupides leçons de maintien par d’antiques vieilles femmes. Mais ce n’étaient que de douces rêveries, Winthe l’avait vite compris. Là où l’on pouvait voir une enfance dorée, pleine de riches soieries et de réceptions sublimes, elle voyait autre chose. Une vie, tout simplement, avec des devoirs et des obligations. Ses épaules étaient plus chargées que celles des autres gamins, mais son existence était nettement plus agréable. Et malgré ses obligations, elle était heureuse, comme cela n’était sûrement pas permis pour une héritière. Sahar resserra la dernière tresse, ajusta l’ultime boucle, puis elle fit un pas en arrière pour admirer son travail. Un fin sourire ourla ses lèvres. « Tu es si belle… » « Ne dis pas de bêtises. » « Je n’en dis jamais. Allez, debout, il faut encore que tu t’habilles. » « Que la Jouvencelle me vienne en aide. » Le rire clair de la bâtarde retentit dans l’alcôve, aussitôt suivi de l’éclat énergique de la Martell. Des jours heureux, des jours anciens. On a pas tous les jours dix-sept ans, après tout. Si à l’époque, elle avait su que cela serait son tout dernier banquet d’anniversaire en tant que jeune fille, elle aurait sûrement profité davantage du vin et de la compagnie. Mais comment pouvait-elle se douter de la tournure des évènements ? Qui l’aurait pu…

Winterfell, Nord. An 350. Du bout de son index, la jeune femme dessinait de lentes arabesques dans le dos de son amant. Elle s’arrêtait parfois sur quelques cicatrices qui marquaient son corps, puis reprenait pour repasser le contour de ses muscles bien développé. Cette distraction lui permettait de ne pas penser à ce qui la tracassait réellement. Cette fois encore, il avait découché. Elle avait accepté de fermer les yeux sur ses infidèles récurrentes bien des années plus tôt, mais ça ne signifiait pas qu’elles ne comptaient pas à ses yeux. Elle lui en voulait, bien sûr, elle haïssait la plupart des putains qui pensaient que parce qu’il les baisait, cela voulait dire qu’elles comptaient à ses yeux. Elle-même, elle ignorait encore si après huit ans passés à ses côtés, elle valait davantage que ses favorites. Il lui arrivait de se demander quelle était la portée de son affection pour elle : serait-il prêt à la défendre, si jamais elle s’opposait à sa famille ? Sûrement pas. Par contre, elle savait d’expérience qu’il lui faisait plus confiance qu’à beaucoup d’autres et qu’il était capable de la protéger contre le monde entier… Du moment que ce n’était pas son père. Theodan l’aimait. A sa façon. Tout comme elle l’aimait à la sienne. Ils n’étaient pas le couple le plus parfait, néanmoins au sein du clan Bolton, ce n’était déjà pas aisé d’être simplement sain d’esprit. N’est-ce pas ?

L’écorché étouffa un grognement et se retourna vers elle, la toisant d’un regard ensommeillé. Comme à chaque fois que leurs regards se croisaient, elle voyait la fêlure de son être qui avait attisé sa violence envers autrui… Mais elle voyait aussi cette étincelle qu’il avait parfois avec elle. Presque comme de la tendresse, une considération certaine. Et il y avait ces fois où ses beaux yeux bleus se mettaient à pétiller de malice. De malice, pas de sarcasme ou du plaisir de donner de la souffrance. Dans ces moments-là, il lui était facile d’oublier qu’il était un Bolton et qu’il avait plus souffert par le passé qu’elle dans toute sa vie. Qu’il avait été brisé par son propre père pour correspondre à l’idée qu’il se faisait de son héritier. D’un écorché. Combien de fois l’avait-elle entendue répéter la devise de sa famille ? Nos lames sont acérées. Tranchantes, mortelles. Tout comme la haine qui ronge son cœur meurtri. Mais sans doute est-elle la seule à deviner tout cela dans un seul regard. Il lui a fallu du temps avant d’admettre qu’il pouvait être doux, des mois avant de se voir adresser un sourire sincère, des années avant qu’il ne soit aussi à l’aise avec elle. Entre eux, les choses n’avaient jamais été faciles. Cependant, dans un certain sens, la difficulté faisait partie de leur quotidien et ils s’en sortaient très bien.

Délicatement, Winthe se saisit de la main blessée de son époux pour caresser distraitement le moignon d’auriculaire. Il lui avait raconté, une fois, la façon dont le chef de famille lui avait incisé la peau juste sous l’ongle avant de faire glisser la lame jusqu’à ce qu’il ne reste plus que la chair sanguinolente. Comme toujours, elle l’avait écouté jusqu’au bout, déposant des baisers sur sa nuque et ses épaules, frissonnant intérieurement de dégoût et … Oui, de rage contre Eothain qui l’avait privée de l’homme qu’elle aurait pu avoir. Theodan n’était pas heureux, même s’il n’en parlait jamais. Elle avait appris à le connaître, à savoir qu’il ne rêvait parfois que de passer la journée à chasser comme un roturier et à se balader de couches en couches comme s’il n’était pas le futur seigneur de Winterfell. Comme il ne pouvait pas mener sa vie librement, il se rabattait sur les cuisses généreusement ouvertes des ribaudes et sur une fâcheuse habitude à blesser son entourage. Une ou deux fois, Winthe avait dû subir son courroux. Mais il n’avait jamais levé la main sur elle. Au début, il craignait peut-être qu’elle ne finisse par le planter dans son sommeil. Et ensuite, c’était parce qu’il l’aimait. A sa façon.

Il tenta de soustraire sa main à ses caresses, sûrement peu désireux qu’elle s’attarde davantage sur son moignon, mais elle raffermit sa prise et, délicatement, entoura son doigt avec ses lèvres humides. Sa langue s’attarda sur les contours brusques de la blessure, puis elle fit subir le même traitement à son annulaire, son majeur, son index, son pouce. Theodan la laissa faire, son visage impassible. Néanmoins, dans l’océan tumultueux de ses iris s’alluma une lueur lubrique qu’elle lui connaissait bien. Le plaisir de la chair, certes, mais elle devinait aussi autre chose. Ou peut-être espérait-elle en réalité qu’il n’y avait pas que sa croupe et sa langue qui l’intéressaient. Qu’il saisissait à quel point elle lui était dévouée, envers et contre tous, qu’il comprenait que sa loyauté lui était acquise depuis le premier jour de leur mariage. Toujours en silence, elle fit basculer son corps au-dessus du sien, bien à l’abri sous les lourdes couvertures. Sa poitrine pressée contre son torse, elle l’observa avec attention lorsqu’un pâle rayon lunaire vint s’attarder sur eux, dévoilant leurs traits aussi aisément qu’en plein jour. Il avait encore dû faire des rêves de loups. Mais de cela, ils n’en parlaient que rarement. Elle essayait malgré tout de lui faire comprendre la valeur du don dont il avait hérité, de lui faire accepter cette partie de lui-même qu’il repoussait sans arrêt. Elle n’était peut-être pas liée à l’esprit d’un loup, comme lui, mais elle était change-peau elle aussi. Son âme avait fusionné avec celle d’un fidèle mâtin qui la suivait comme son ombre depuis pratiquement neuf années. D’ailleurs, rien qu’en fermant les yeux, elle parvenait à sentir à la lisière de son esprit les pensées animales de la bête.

Theodan attrapa brusquement ses hanches, pivota sur le côté et lui destina un sourire amusé lorsqu’il se retrouva en position de force. Ses lèvres vinrent chatouiller son cou en même temps que les poils drus de sa barbe laissaient des sillons rouges sur sa peau. Elle éclata d’un rire joyeux, posant ses deux mains sur son torse pour le tenir à distance. « Theo ? » De nouveau, l’intense couleur bleuté de ses yeux la firent frissonner. Elle pouvait presque sentir les restes du loup en lui. Il prit appui sur ses bras pour mieux la considérer. « Fais-moi l’amour. » Elle ne lui avait pas demandé de la baiser, elle ne lui avait pas avoué qu’elle avait besoin de ses bras autour d’elle pour être rassurée. Mais il la connaissait, il savait lire en elle. Il savait qu’elle ne désirait pas simplement qu’il lui fasse son affaire. Elle voulait pouvoir croire, pendant cette étreinte, qu’elle était la seule. Comme elle avait cru, un peu naïvement, la première fois qu’il l’avait prise, qu’il tomberait réellement amoureux d’elle. Elle était vierge, du haut de ses dix-sept ans, lorsqu’ils s’étaient retrouvés dans la même chambre. Il ne l’avait pas crue, parce qu’elle était fille de Dorne et que les mœurs n’étaient pas les mêmes là-bas. Il l’avait encore moins crue lorsqu’elle avait commencé à s’occuper de lui de manière aussi audacieuse et délicieuse. Il avait commencé à se demander si elle ne s’était pas foutue de lui lorsqu’elle l’avait chevauché. Mais le sang avait alors coulé. Tâchant les draps, souillant sa pureté qu’elle avait conservé jusqu’à ce jour fatidique. Il n’avait pas pu nier l’évidence. Et pourtant, il avait continué à se demander où elle avait bien pu apprendre autant de manières de satisfaire un homme. Lui, il en avait connu des donzelles. Parfois même quelques professionnelles du manche. Mais qu’une princesse soit aussi douée l’avait franchement étonné. Et ils avaient conclu un deal alors qu’il souffrait de ses caresses indécentes. Elle le tenait en son pouvoir, ce soir-là, soumis à cette excitation, ce désir qu’il avait de vouloir la prendre sur l’instant. Il avait tenté de le faire, d’ailleurs, mais Winthe s’était montrée trop agile pour lui. Trop combattive. Ça aussi, ça l’avait étonné. Les termes du contrat étaient simples : il la laissait vivre sa vie en-dehors du château, elle lui dédiait sa vie et sa loyauté. Qu’est-ce qui avait poussé l’écorché à accepter ? Elle l’ignorait encore aujourd’hui, mais il l’avait fait. « Rends-moi heureuse, Theo. » Il l’avait fait.


la famille avant le reste
Invaincus, insoumis, intacts. Telle est la devise des Martell.

Aînée de quatre enfants, Galeswinthe a toujours pris grand soin de sa fratrie, tout en mettant un point d’honneur à devenir la meilleure dirigeante possible pour le royaume de Dorne. Cette façon, sans doute un peu orgueilleuse, de ne pas douter une seule seconde de son avenir l’a un peu éloignée de sa première sœur. Elle est par contre assez proche de son frère et de sa cadette, surtout de cette dernière à dire vrai. Elles ont toujours été très complices malgré les années qui les séparent. L'âge n'avait aucune importance à leurs yeux. Le père de Galeswinthe, soit le prince de Dorne, considérait la jeune femme comme sa petite princesse, et ce dès sa naissance : d'après lui, elle est son portrait craché, quand bien même elle ressemble nettement plus à sa mère. En parlant de sa mère, même si elle n'est pas Dornienne de naissance, elle s'est toujours comporté comme il le fallait en tant que compagne du régent. C'est une dame comme en fait plus, distinguée et un peu trop sévère. Si elle avait eu son mot à dire, elle n'aurait jamais mariée Galeswinthe a un Bolton parce qu'elle les trouve répugnants. Néanmoins, cette décision était du ressort de son époux et de sa fille.

A côté de cette famille d'apparence banale, il faut compter les nombreux bâtards. Du côté paternel, surtout. Galeswinthe n'a jamais fréquenté ceux qui auraient pu naître du côté maternel. En fait, bien qu'elle ait grandit avec Sahar, elle ne l'a jamais considérée comme sa demi-sœur. C'est sa sœur, voilà tout. Elle a grandit avec d'autres gamins nés du mauvais côté du lit, certains sont ses amis, d'autres ses ennemis.


derrière le masque
pseudo : moonofblood. (j'ai l'impression d'avoir déjà répondu ça quelque part.) △ prénom : jessica. (et quoi, hein, mon prénom il est pas assez bien pour ce forum WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 870842424 ?) △ âge : vingt-et-un ans. l'âge d'entrer dans les bars américains, avouez, vous m'enviez. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 1628531769comment avez-vous découvert le forum ? mon mari m'a traîné ici, il m'a ligotée et jetée par-dessus son épaule comme un sac à patates. tout ça pour qu'il couche avec tout ce qui porte un jupon, et que je le laisse faire. S.O.S femmes cocues. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 3645374252votre avis ? genre il est beau, quoi. j'aime le bleu. puis j'ai un mari trop sexy. △ des questions ? suggestions ? VIENS MA LIRAZ, ON VA PRENDRE LE NOIR. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 870842424fréquence de connexion : quoi, vous vous lassez déjà de moi ? WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 133250108poste vacant, scénario ou inventé ? inventé, voyons. △ le mot de la fin : STARK FTW. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 870842424




Dernière édition par Galeswinthe Martell le Lun 29 Avr - 19:42, édité 8 fois
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Aryanna
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MessageSujet: Re: WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.   WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. EmptySam 23 Mar - 2:03

Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche :)

PS : Ton avatar WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 713348318
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Theodan Bolton
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MessageSujet: Re: WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.   WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. EmptySam 23 Mar - 8:04

quoi "stark ftw" trAITRESSE VA. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 870842424 je te souhaite même pas bienvenue tiens.
(imagine dragons. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 713348318 jotem. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 713348318 )
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Liraz Stark
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NORD △ ROTURIER
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MessageSujet: Re: WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.   WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. EmptySam 23 Mar - 9:50

VAZY WINTHE J'ARRIVE ON VA REJOINDRE LA GARDE DE NUIT WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 870842424

and yup. stark ftw. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 3226433173
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Theodan Bolton
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MessageSujet: Re: WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.   WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. EmptyLun 29 Avr - 19:40

JOTEM et ta fiche est validée, na, voilà, va écrire notre rp maintenant, allez hop hop hop, femme. WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 870842424
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Galeswinthe Martell
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MessageSujet: Re: WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.   WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. EmptyLun 29 Avr - 20:56

    WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. 4287046846
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MessageSujet: Re: WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves.   WINTHE + lady of Winterfell, sister of the wolves. Empty

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