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 La religion

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Roi dans l'Ombre
Roi dans l'Ombre


Dragon à deux têtes
messages : 66
arrivée en westeros : 12/01/2013

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MessageSujet: La religion   La religion EmptySam 26 Jan - 14:30




la religion des sept
△ La religion des Sept, aussi appelé la Foi, est la religion la plus répandue dans les Sept Couronnes. Venue avec l’invasion des Andals il y a quatre mille ans, elle a écrasé dans presque tout le sud la religion des anciens dieux qu’honoraient les Premiers Hommes et les enfants de la forêt.
On raconte que jadis, lorsque les Andals vivaient encore sur Essos, les Sept foulèrent la terre sous forme humaine et certains guerriers portaient, sur le buste, des scarifications représentant l’étoile à sept branches.
Actuellement, cette religion est tolérante vis-à-vis des autres, comme en témoigne la survie des bois sacrés et des grâces rendus aux anciens dieux bien que les adeptes de ces derniers soient parfois considérés comme des sauvages et des adorateurs d’arbres.
Longtemps, la religion des Sept fut sous la protection de la Maison Hightower et son siège se trouvait à Villevieille, dans le septuaire Etoilé. Mais lors de la Conquête, Aegon Targaryen fit déplacer le centre de la religion à Port-Réal, sa nouvelle capitale et son fils Maegor le Cruel la dépouilla de nombre de ses pouvoirs.

△ La religion des Sept rend un culte à sept faces divines, avatars d’un seul et même Dieu. Chacune est associée à une classe particulière de la société.

→ Le Père, ou le Père d’En-Haut, est représenté sous la forme d’un homme barbu dans la force de l’âge, symbolisant l’autorité et la justice. C’est à lui que revint de juger les âmes, et sous son égide que sont placés les duels judiciaires. On dit d’un mort « Puisse le Père le juger équitablement ».
→ La Mère, ou la Mère d’En-Haut, apparaît sous les traits d’une femme au visage souriant. Sous sa protection sont placés les mères, les femmes enceintes et les enfants, la maternité étant l’un de ses domaines. Lui sont aussi rattachés les symboles de la pitié, de la miséricorde et de la compassion. Les mariages sont célébrés sous son égide et celle du Père.
→ L’Aïeule porte le visage d’une vieille femme ridée, portant une lanterne. Elle éclaire le chemin à prendre par ses deux attributs : la sagesse et la connaissance des anciens.
→ Le Guerrier est un homme armé d’une épée. Les combattants sont placés sous sa protection, mais également ceux ne pouvant se défendre. Les soldats le prient avant les batailles, et il est également invoqué lors des duels judiciaires.
→ Le Ferrant, représenté par un homme portant un marteau. Il représente le petit peuple et le travail que ce dernier effectue. Ainsi, il est l’artisan, un seul mot couvrant énormément de domaines. On le prie pour que les armes ne se brisent pas, lorsqu’un navire est mis à l’eau pour la première fois mais également pour la guérison des malades.
→ La Jouvencelle est une belle jeune fille, protectrice des pucelles. On la prie afin qu’elle sauvegarde leur innocence et leur honneur. Il semblerait également qu’elle soit invoquée pour protéger les amours. Un jour particulier lui est consacré, celui de la Jouvencelle.
→ L’Etranger est parfois représenté sans visage, de manière androgyne ou avec ses traits dissimulés sous la coule d’une pèlerine. Il symbolise la mort, mais également ce qui fait peur, l'éternel proscrit, l'errant venu de contrées lointaines, plus et moins qu'humain, inconnu, inconnaissable. Il est l’avatar auquel est rendu le moins de grâce.

△ La religion des Sept inculque que tous les hommes sont des pécheurs, mais pouvant être pardonné par la repentance, la pénitence et la confession. Après leur mort, les hommes sont soumis au jugement du Père. S’ils sont jugés dignes, ils atteindront une béatitude éternelle mais dans le cas contraire, ils seront jetés dans l’un des sept enfers.
Le chiffre sept a ainsi une importance prépondérante dans cette religion. Ainsi, les lieux de culte, septuaires où l’on trouve une effigie pour chacun des Sept, sont des bâtiments à sept faces, le symbole de la religion est une étoile à sept branches, les chevaliers sont oints de sept huiles lorsqu’adoubés, les manifestations religieuses comportent sept ou soixante-dix-sept septons et septas …
Cette prépondérance se retrouve également dans le livre sacré de cette religion, se nommant l’Etoile à Sept Branches, ainsi que dans le signe de l’étoile fait par les croyants lors de la prière.

→ Le Grand Septon est la plus haute figure du culte, élu par leurs Saintetés et résidant à Port-Réal. Il préside à ce poste à vie et renonce à son nom et à son prénom pour ne plus être désigné que par son titre. Il ne dispose d’aucun véritable pouvoir politique, même s’il est censé bénir le Roi, la famille royale lors de leur voyage hors de Port-Réal et préside les mariages royaux. Il arbore un anneau, symbole de sa charge, et un diadème de cristal lors de ses apparitions publiques.

→ Leurs Saintetés est un corpuscule composés de septons et de septas dont le rôle principale est d’élire un nouveau Grand Septon à la mort de son prédécesseur.
Les septons sont les responsables d’un septuaire dans une ville ou un bourg. En revanche, les septuaires les moins importants ne sont visité qu’épisodiquement par des septons itinérants. Les septas ne peuvent être tenir ce rôle de prêtre mais en revanche, elles servent bien souvent de gouvernante aux jeunes filles nobles et font leur éducation. L’un comme l’autre renoncent à leur nom de famille en entrant dans les ordres.

→ Les doyens sont les responsables d’un septistère, des communautés en général situés dans les zones rurales isolés. Leurs membres sont qualifiés de frères bruns. Ils ne se consacrent parfois qu’à une seule figure des Sept, peuvent faire des vœux divers, tel celui de silence et se rasent souvent le haut du crâne pour prouver au Père d’En-Haut qu’ils n’ont rien à lui cacher. On trouve une telle communauté sur l’Île de Repose.

→ Les moines sont la base hiérarchique du culte. Ils vivent en petites communautés dédiés à la méditation, généralement dans les campagnes bien qu’ils puissent aussi bien être errants.

→ Les sœurs du silence sont un ordre religieux exclusivement féminin, chargées de prendre soin des morts. Elles font leur toilette mortuaire, les habille et les transporte, sous forme de cadavre ou bien d’ossements. Leur tenue est composée de longs voiles gris qui ne permettent de discerner que leurs yeux, car regarder un mort en face porte malheur. Les contes pour enfants prétendent qu’elles ont la langue amputée, car elles ne s’adressent pas aux vivants.

→Les frères mendiants, membres de différents ordres pénitents, parcourent les Sept Couronnes afin de prêcher la bonne parole. Ils ont fait vœu de pauvreté, allant vêtus de robes de bures et marchant pieds nus. Ils arborent également une sébile comme preuve d’humilité.

→Jadis, ils existaient également deux ordres combattants, le bras armé de la Foi : les Fils du Guerrier et les Pauvres Compagnons. Toutefois, ceux-ci s’étant opposés à l’accession au trône d’Aenys I Targaryen, ils furent dissolus par son successeur, Maegor le Cruel. Ceci entraîna de nombreuses années de trouble désignées sous le nom de « Guerre de la Foi »..



les anciens dieux
△Les anciens dieux est le nom donné par les adeptes de la Foi aux dieux sans noms et sans fonction divine établie encore honorés dans le Nord et par les sauvageons. Jadis, ils étaient révérés par les enfants de la forêt et les Premiers Hommes mais lors de leur invasion, les Andals l’ont écrasé dans le sud qui s’est presque tout entier plié à la religion des Sept. Seules quelques très rares maisons en dehors du Nord, comme les Nerbosc dans le Conflans, continuent de les honorer. Officiellement, la religion des anciens dieux est sous la protection du Trône de Fer, le Roi jurant de protéger les anciens dieux et les nouveaux.

△L’histoire de ce culte est inconnue, faute d’écrits laissés par les enfants de la forêt et les Premiers Hommes, et il ne possède pas de clergé. Les intercesseurs entre les dieux et les hommes sont les barrals, situés dans les bois sacré que presque toute maison noble possède, même dans le sud. Ce sont des arbres à l’écorce blanche et aux feuilles pourpres, orné d’une face creusée dans leur tronc et dont une sève rouge, séchée par le temps, dégouline. Dans le sud, presque tous ont été coupés lors de l’invasion des Andals, et ces barrals à face, creusées par les enfants de la forêt, ne subsistent quasiment que dans le Nord. Ils sont également nommés arbres-cœur.

△Les prières sont silencieuses, et tout un chacun peut venir dans le bois sacré pour honorer les dieux. C’est une religion intimiste, dépouillée. Certains rêves et signes, comme le bruissement du vent dans les feuilles, peuvent être pris comme des réponses des dieux. Les serments sont souvent prêtés devant un arbre-cœur, car selon la légende, il est impossible de mentir lorsqu’on se trouve devant l’un d’eux. Selon les croyances, les Premiers Hommes pratiquaient des sacrifices humains sanglants en l’honneur des anciens dieux.

△Les anciens dieux sont présents partout, dans les roches, la terre, les rivières, les animaux et ne sont pas différenciés l’un de l’autre. A leur mort, les humains les rejoignent et sont à l’abri de toute souffrance. Il semblerait que cette religion soit dépourvu de manichéisme, au contraire du culte rouge de R’hllor.
A l’image de la religion des Sept, les anciens dieux désapprouvent l’esclavage, le bafouage des lois de l’hospitalité, le parricide et l’inceste.
Les pratiquants du culte ne sont pas intolérants envers les autres religions, bien que la débauche rituels et les objets de culte de la Foi sont en bute au mépris de la part des croyants.



la religion du dieu noyé
△ La religion du Dieu Noyé est le culte des Fer-nés, ceux-ci ayant été plus ou moins épargnés lors de l’invasion des Andals. La divinité principale est le Dieu Noyé, également nommé Celui Qui Réside Sous Les Vagues. La mer contient sa demeure, et en seraient issus les Fer-nés et le poisson assurant leur subsistance. Selon la légende, il serait mort noyé pour son peuple avant de renaître.
Il a un pendant négatif, le Dieu des Tornades qui ne fait l’objet d’aucune dévotion. Il est l’incarnation de la duplicité et du malheur, celui qui sème la rage, la discorde et la division dans le peuple Fer-né. Il serait en guerre depuis des milliers d’années avec le Dieu Noyé, et de là viendraient les tempêtes secouant la mer.

△Le clergé du Dieu Noyé est composé de prêtres et de leurs disciples, les noyés, seulement vêtu de bures grises, vertes ou bleues et armés d’un bâton de bois flotté. Ils accèdent à cette charge en étant noyés, c’est-à-dire immergés dans de l’eau de mer et maintenus sous sa surface jusqu’à ce qu’ils perdent connaissance. Ils renaissent ensuite grâce à un massage cardiaque et une respiration artificielle effectué par un prêtre bien que certains meurent tout simplement lors de cette opération. Cette renaissance est accompagnée d’une litanie : « Ce qui est mort ne saurait mourir, mais se relève à nouveau, plus fort et plus vigoureux ». Le début de cette prière est également prononcé en guise de condoléances et, parfois, en tant que salutations et lors des baptêmes.

△Traditionnellement, les enfants sont baptisés en étant immergés dans de l’eau de mer, cet acte étant également appelé noyade. Les mots prononcés diffèrent de la litanie consacrant un prêtre : « Fais que ton serviteur renaisse de la mer comme tu en en renaquis. Accorde-lui la bénédiction du sel, la bénédiction de la pierre, la bénédiction de l’acier. Ce qui est mort ne saurait mourir, mais se relève à nouveau, plus fort et plus vigoureux. »
Les navires sont également baptisés par un prêtre grâce à de l’eau de mer.

△Le culte prône l’acceptation des épreuves, la volonté car seuls les plus forts peuvent survivre tandis que les faibles périssent. Les Fer-nés ne craignent pas la mort par noyade, se battant en armure lourde sur le pont de leur navire.

△L’Antique Voie est le code de conduite des Fer-nés, un ensemble de préceptes ayant vu le jour lors de l’Âge des Héros et transmis oralement de générations en générations. Ce code prône notamment la prise par la force des richesses des autres plutôt que le développement des relations commerciales. Ainsi, les Fer-nés sont des spécialistes du pillage.

△Chaque bien que possède un Fer-né doit être acquis au fer-prix, et non pas par l’or. Il doit s’en emparer par la force et le fer, bien qu’une exception soit faite lors des Etats généraux de la royauté où les capitaines souhaitant être élus offrent des présents à l’assemblée.

△Les Fer-nés combattent au corps à corps, bien que l’arc semble également être accepté et ne possèdent ainsi donc pas de machines de guerre. Le siège est une pratique de guerre exclue, car triompher d’un adversaire par la faim n’apporte aucune gloire.
La religion du Dieu Noyé proscrit l’esclavage, mais le servage en revanche est une pratique très courante. Lors des pillages effectués, les Fer-nés emmènent les hommes et les femmes capturés. Ce ne sont pas des esclaves, ne pouvant être achetés ou vendus, mais ils deviennent les serviteurs de leur ravisseur et sont employés pour les travaux agricoles ou miniers.

△Le sort des femmes peut toutefois être différent. Les moins belles ou ne possédant pas de connaissances utiles sont généralement violées puis tuées tandis que les autres deviennent des femme-sels, en opposition à la femme légitime d’un Fer-né appelée femme-roc. Elles peuvent devenir jusqu’à des concubines.
Les enfants de serfs et de femme-sel deviennent des Fer-nés à part entière et certaines Maisons nobles ont été fondées par de telle descendance.

△Il arrive un sort encore différent aux guerriers, car ils ne feraient jamais de bons serfs et se battraient pour recouvrir leur liberté. Ces derniers sont sacrifiés au Dieu Noyé en étant immergés dans de l’eau de mer jusqu’à la mort.

Un Fer-né ayant suivi les préceptes de l’Ancienne Voie est assuré, après sa mort, de festoyer pour l’éternité dans les demeures liquides du Dieu Noyé, servi par des sirènes.


le culte de R’hllor
△ Le culte de R’hllor, très peu présente dans les Sept Couronnes, est toutefois le culte prépondérant sur Essos, de l’autre côté du détroit. Originaire d’Asshaï-Iès-Ombres, elle rend grâce au dieu R’hllor, ou Dieu Rouge, également appelé le Maître de la Lumière, Cœur du Feu et dieu de la Flamme et de l’Ombre. Il est symbolisé par le feu et est l’incarnation la vie, la lumière, la chaleur, l’amour, la féminité, la douceur, l’été, le bien, le blanc, le plaisir. Son pendant est un dieu anonyme, également nommé l’Autre, symbolisant la mort, le noir, l’hiver, le mal, les ténèbres, la haine, le froid, l’amertume et le masculin.

△C’est une religion manichéenne et dualiste, dont les deux symboles sont en guerre depuis le début du monde et le seront jusqu’à la fin. Chaque homme doit choisir un camp dans cet affrontement.
Le clergé du Dieu Rouge est composé des prêtres rouges, très puissants en Essos. La hiérarchie comporte les Grands Prêtres, reconnaissables par leurs robes rouges, ainsi que des prêtres mineurs et des acolytes, vêtus de jaune pâle et d’orange vif. L’ordre comporte également des prostituées sacrées et des guerriers, membres de la Main Ardente, le bras armé du culte.

△Les temples de R’hllor possède un grand brasier sur leur toit, constamment entretenu.
Des prières chantées se déroulent au coucher et au lever du soleil, demandant la protection de R’hllor. L’une d’entre commence ainsi :
Guide-nous à l'écart des ténèbres, ô mon Maître, emplis nos cœurs de feu, que nous nous retrouvions à même de fouler ton sentier lumineux.
R'hllor, tu es la lumière dans nos yeux, le feu dans nos cœurs, l'ardeur dans nos reins. A toi appartient le soleil qui réchauffe nos jours, à toi les étoiles qui veillent sur nous dans la poix des nuits.

-Sois notre défenseur, ô Maître de la Lumière, car la nuit est sombre et pleine de terreurs
Sois notre protecteur, ô Maître de la Lumière.
-Sois remercié, R'hllor, pour nous avoir donné le souffle. Sois remercié, R'hllor, pour nous avoir donné le jour.
-Sois remercié pour le soleil qui nous réchauffe. Sois remercié pour les étoiles qui veillent sur nous. Sois remercié pour les âtres et les torches qui nous permettent de tenir en respect la férocité des ténèbres.

△L’une des maximes employé par les prêtres rouges est : « car la nuit est sombre et pleine de terreurs ».

△En l’honneur de R’hllor, des sacrifices humains par immolation sont pratiqués et lors de la mort d’un homme, un prêtre lui dispense l’ultime baiser, censé insuffler la vie du dieu dans ses poumons. Les prêtres rouges peuvent également présider des mariages.

△Les prêtres semblent disposer d’un certains nombres de pouvoirs, tels que des dons de divination par la lecture prophétique de flammes, la résistance au poison, la différenciation du mensonge de la vérité en posant un doigt sur la poitrine de l’interlocuteur. Il semblerait également que certains puissent donner naissance à des ombres, des créatures faites de ténèbres et pouvant accomplir des tâches parfois meurtrières.


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